Etude de ce qui constitue chaque nation et des conséquences qui en découlent
Ce qui est nouveau, dans la démonstration de Nationisme, c’est sa construction théorématique qui la rend implacable.
Afin de donner à cette réflexion fondamentale sur le concept nouveau de ''nationisme'' sa force de persuasion, Henri Temple propose un raisonnement sous forme de théorème. Aujourd’hui on imagine, à tort, qu’un théorème relève nécessairement des mathématiques ; c’est faux : le théorème est un procédé de démonstration commun à la logique et aux mathématiques. Un théorème est une affirmation, destinée à être démontrée, qui peut être établie comme vraie au moyen et à l’issue d’une démarche logique construite à partir d’axiomes. Une fois le théorème démontré, il sera considéré comme vrai. De plus, chacun des axiomes (v. les chapitres 2, 3, 4, 5, 6 et 7) qui sous-tendent la démonstration du Nationisme, sont tous démontrables, ce qui est exceptionnel pour des axiomes, et rend en cela la démonstration encore plus forte et rigoureuse.
Les faits nationaux facilement observables, forment une matrice culturelle qui engendre un être humain façonné de sentiments et de psychologie en général, de psychosociologie politique en particulier. Tout le reste découle, imparablement, de cet affect et ce consensus, de causes en conséquence. C’était si évident qu’on l’avait oublié.
La construction de ce théorème s’effectue à partir de l’observation initiale du fait national, dont découle une première conséquence, puis un enchaînement mécanique, de faits en conséquence, chacune des conséquences devenant aussitôt le fait générateur d’une nouvelle conséquence.
Ceci se vérifie selon cette suite :
1 Observation et qualification du fait national dans ses multiples dimensions
2 Conséquences psychologiques et neurologiques individuelles du fait national
3 Conséquences sociologiques collectives des faits psychologiques (l’identité)
4 Conséquences sociales des faits sociologiques
5 Conséquences socio-économiques des fonctions sociales
6 Conséquences juridiques des faits sociaux-économiques
7 Conséquences politiques de la conjonction des faits juridiques, et sociaux-économiques
8 Conclusion : Le Théorème du ''nationisme''
C’est ainsi, à partir de l’observation initiale du fait national que découle une première conséquence, puis un enchaînement mécanique, de faits en conséquence, chacune des conséquences devenant aussitôt le fait générateur d’une nouvelle conséquence.
Ainsi chacune des dimensions du phénomène national est à la fois la conséquence d’une dimension ''amont'' et la cause d’une autre dimension ''aval''.
La dimension politique est l’ultime conséquence ; toutefois cette dimension peut néanmoins entraîner aussi d’autres conséquences renversées : une mauvaise organisation ou gestion politique peut remettre en cause et compromettre tous les innés et tous les acquis qui forment le socle de la nation.
Le nationisme a souffert avant tout du fait qu’il n’a pas été défendu. Car depuis la Déclaration des Droits de 1789 si l’idée de nation est souvent invoquée dans les discours officiels, elle n’a pas, à de rares exceptions près, été développée ou revivifiée.
Or les ennemis de la Nation, au contraire, ont beaucoup critiqué, attaqué ou œuvré à affaiblir l’idée. Assez curieusement les assauts conjugués viennent à la fois de la grande bourgeoisie internationale ou cosmopolite se disant de droite pour mystifier le corps électoral. Et ils viennent aussi de la nouvelle gauche se disant socio-libérale. Et ils viennent encore de l’extrême gauche anti-démocratique et violente, et des Verts.
Quelques savantes inepties, lourdes d’effets pervers, sont dénoncées dans Nationisme. On citera, sans ordre :
« la nation est une fiction… être contre l’immigration de masse c’est être raciste ou fasciste… l’Europe (de Bruxelles) est notre seul destin possible... l’€ et l’UE vont nous rendre plus prospères et plus puissants… il faut rembourser la dette de l’État et ses intérêts et donc réduire les dépenses y compris dans le Service public... »
La clé d'une démocratie plus saine c'est le retour de la participation au vote
et la fin de l'esprit "à quoi bon ?" par Henri Temple
Henri Temple - BP 13 La Poste 12230 La Cavalerie (France)